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La solitude de l'enfance
Montgazon
La rencontre de Gine
Prisonnier à Stétine en Poméranie pendant 4 ans. Utilise comme support d'écriture les 3 épaisseurs des sacs de ciment. Rencontre Milos Jokuns, pianiste à la "Cabane Cubaine" de Paris avant la guerre. Il se trouve dans la même baraque que Maurice Courant dans le camp de prisonniers de guerre de Kümken en Poméranie. A la demande du musicien, Maurice Courant écrit 6 chansons qui sont accompagnées par des instruments de fortune pendant ces soirées de l'hiver 1941 où les prisonniers sont tôt enfermés dans les baraques glaciales.
Quatre slow-fox : "Vous avez pris mon amour", "L'ombre s'étend dans la vallée", " Mon coeur est las", "Nuits claires d'Hawaï" (du début de Janvier à la fin de février 1941), un tango : "Tangue mon coeur", et une valse : "Une valse pure".
Le retour et le mariage
Le poète
4 Prix de l'Académie Française3 Prix de la Maison de Poésie
Prix des Poètes Classiques
Grand Prix des Poètes français
Grand Prix International de Poésie
Le grand Prix International de poésie
L'activité professionnelle
La retraite
"Sonatine", la villa de St-Brévin où Maurice Courant a écrit tant de poèmes sur la mer.
1967
1974
1977 : La MAISON DE POÉSIE lui ATTRIBUE le Prix FERNAND DAUPHIN pour son recueil "O TOI QUE LE VENT GLACE...
1981 : La MAISON DE POÉSIE lui attribue le Prix VERLAINE pour le recueil "TÉNÉBREUSE LUMIÈRE".
1984 : Grand Prix des Poètes français pour l'ensemble de son oeuvre
1988 : Grand Prix International de Poésie
1992 : Prix HEREDIA 92 de l'Académie française pour le recueil "Amare Doloris Amor"
" Une densité ailée (Gustave Thibon)
"Splendides solitudes" (Pierre-Yves Trémois)
"Une mystique du Désir, une mystique du désir de Dieu" (Jean Bancal)
" Oui, vous savez rendre la lumière "impérissable" (Serge Brindeau)
"Dans ces vers, la présence d'un secret qui les rend actifs" (Jean-Claude Renard)
"Cher et grand maître Maurice Courant, merci pour m'avoir renouvelé, aiguisé cette conscience de l'universelle extase qui reste présence inséparable de nos jours et de nos nuits." (Yéhudi Ménuhin)